On parle, et ce même dans des milieux érudits loin des frileuses ou conservatrices réticences anti-techniciennes « d’addiction à internet ».

Qu’entend-on par là ?  Utiliser internet pour découvrir le monde, lire des textes et regarder des images, communiquer, produire des oeuvres ? En fait rien que nous ne fissions déjà avec le papier, la plume, le pinceau et des instruments de musique ?

Parlait-on d’assuétude (addiction) au papier-crayon ? à l’imprimerie ? à la musique ou au dessin ?