Dans le monde où nous sommes « jetés » et qui s’offre à nos yeux en ce 21ème siècle ne sont fainéants que les actionnaires, financiers et encaisseurs de dividendes…  et, bien sûr, comment oublier l’arrogance de ceux qui les servent et leur permettent d’engranger autant sans ne jamais rien faire :  autrement dit ceux qui ont fait le choix d’une carrière politique toute de privilèges, passe-droit, combines et péroraisons destinées à masquer la vaine agitation qu’ils tentent fiévreusement de faire passer pour action, courage et efficacité.

Non les fainéants ne sont pas ceux qui ne parviennent pas à s’intégrer honorablement dans le tissu du travail, de la société… Non le fainéants ne sont pas ceux qui au terme d’une vie de dur labeur vivent plus au moins chichement d’une retraite plus que méritée, toujours chichement calculée et qui n’arrive pas au millionième des parachutes dorés de ces fainéants notoires qui tirent les ficelles. Non les fainéants ne sont pas non plus ceux que la société injuste a irrémédiablement brisés, ravalés au rang de « parasites » et qui, sans abris et souffrant, encaissent en outre les insultes de gouvernants arrogants et sots.