Paradoxe amusant : la réalisation du BREXIT va, ainsi le veulent les institutions, être confiée aux « powers that be » les pouvoirs en place (sur la scène politique aussi bien que dans l’ombre financière) … ceux qui, politiciens, financiers riches acteurs économiques, étaient profondément hostile au leave.

On peut leur faire confiance pour :

1) y mettre toute l’extrême lenteur qui leur conviendra afin d’organiser leurs petites affaires bien confortablement ;
2) négocier des accords très privilégiés avec l’UE (probablement plus favorables et moins contraignants que l’appartenance à l’UE, fût-elle souple comme elle l’était ;
3) élaborer une panoplie d’accords bi- ou tri-latéraux avec de nombreux membres de l’UE soigneusement sélectionnés.

Ce qui, probablement, à terme, révélera que les ardents défenseurs du remain avaient, in fine, tout à gagner au leave !