Paradoxe qui en dit long :
D’une part, « On* » nous invite à nous protéger pour ne pas tomber malades ou mourir et contaminer les autres,
et de l’autre on nous culpabilise presque qu’il n’y ait que 6% de la population qui soit immunisée au lieu des 60% souhaités !!!!!
Sachant qu’il n’y a AUCUN moyen pour l’heure de connaître le chiffre des immunisés – d’ailleurs, d’où sortent ces 6% ? – car il n’y a pas de tests sérologiques disponibles en quantité suffisante.

DONC en fait le but poursuivi n’est pas de nous conserver en bonne santé mais de nous contaminer tous …
Contaminer, MAIS lentement, sans engorger les hôpitaux dont les capacités d’accueil ont été délibérément diminuées par des politiques successives de rentabilité et une vision managériale de la santé publique.
Tout ces propos sont donc inscrits dans une logique qui n’est autre que celle du mensonge masquant la pénurie organisée que nous inflige une idéologie économiste ou financiariste, celle qui a conduit à s’équiper a minima en matière sanitaire, et, aujourd’hui, donc, à tabler sur une hypothétique immunité collective qui se substituerait à la fourniture :
– d’équipements de protection
Рde m̩dicaments
– de tests de porteur (PCR)
Рde tests s̩rologiques ( genre ELISA)
pour TOUS.
Fin de l’illusion : le confinement n’a pas pour but notre santé mais le non engorgement des hôpitaux ; car, au contraire, on voit bien que in fine le but c’est que tous un jour finissent par être « vaccinés » (dans 18 mois au plus tôt ?) – euh non : « auto-immunisés » donc malades – avec un pourcentage de « dommages collatéraux », eh oui, forcément !

Le confinement ne peut en rien mener à l’immunité collective !
Il ne sert qu’à désengorger les hôpitaux. L’immunité collective en est antinomique !
Par contre, elle, on sait l’obtenir ; suivons l’exemple du Charles de Gaulle et des EPHAD !
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* « On » ce sont les politiques arc-boutés sur leurs « Sociétés savantes ».
NB : « Sociétés savantes » est une expression « paravent » (favorite de Messieurs Macron et Véran) qui n’est pas sans rappeler, selon Françoise Degois et Yves Thréard (LCI le 20-4-20), les Diafoirus de Molière.