On ne meurt que trois fois :
Quand on est supposé quitter l’enfance (on peut heureusement y échapper).
Quand on est relégué au « musée » par son entourage, par ceux qui vous ont pris en considération, estimé, adulé… non pas parce que vous déclinez ou perdez vos cheveux, dents, talents et mérites, mais plus simplement pour cause de culture et de mentalité ; parce qu’en fait la société leur impose avec force les images mentales du « déclassé pour cause de génération ».
Quand enfin (et c’est le mot juste) on subit la mort biologique.