Ce que les primaires et les gesticulations pré-présidentielles qui les ont accompagnées ont révélé c’est que, contre toute attente, la jeunesse est de plus en plus de gauche. Pas la jeunesse racaille qui, de toute manière, ne vote pas, ni la jeunesse bling-bling qui croit être « de gauche » comme tout le Macron-cosme parisien. Non, mais la jeunesse lambda, c’est-à-dire tous les autres, ceux dont une infime partie s’est déplacée pour voter Hamon. Ils existent et sont bien plus nombreux que les quadra-quinqua de la mouvance Valls-Fillon ne le pensent.

Un court billet de 20 minutes semblait avoir également observé cette évolution.