Le riche est courageux : il ne renâcle pas à la tâche quand il constate qu’il y a plus à gagner à tondre des millions de pauvres (si faciles à abrutir par la consommation, l’avidité du conformisme, les « marques » et la pub) qu’à affronter (pour le piller) un seul des autres riches qui, en outre, se défendra bec et ongles.